It’s time to come back…

Hi everyone !

Justine's News - https://justinesnews.wordpress.com/

Wow. Wow. Wow. Voilà les premières onomatopées qui me sont venues lorsque je suis retombée sur le lien de mon blog, en faisant enfin un peu de tri dans ma boîte mail (oui, oui, cela m’arrive de temps à autres). Ça fait une éternité, vous l’avez surement remarqué, tout comme moi… Il faut dire que je n’ai pas été très active sur le blog ces derniers temps. De plus, avec mes proches qui commencent à s’ennuyer de mes articles, mon inspiration assez présente en ce moment, je me suis dit, après réflexion : et puis, qu’est-ce qui m’en empêche ? Pourquoi pas, après tout ?

Et c’est ainsi qu’un petit matin de Juillet, alors que les cigales ne chantaient pas encore et que l’on pouvait sentir un légère brise fraîche, je me suis lancée dans une longue et périlleuse aventure et ai allumé mon ventilo, lancé mon ordi et prit ma bouteille d’eau afin de combattre la chaleur pesante qui commençait à s’installer dans ma chambre…

Avec les cours, Yummypets, et ma superbe organisation, il faut dire que tenir un blog était la dernière de mes occupations ! Beaucoup de choses ont changé depuis que j’ai posté mon dernier article (premier février 2015, six mois, wahou !), notamment ma façon d’écrire, le départ de Cocotte et ma manière de concevoir les choses. De plus, j’ai un peu lâché la photographie pendant un certain temps mais grâce aux YummyPotes et à mon fameux cadeau d’anniversaire, j’ai retrouvé le courage de bouger Pepsi du canapé et d’aller faire quelques photos avec lui dans le jardin pour animer un peu son profil et faire plaisir à ses fans ! D’ailleurs, je vous rassure tout de suite : Iris et Django n’ont toujours pas grandi, alors qu’ils ont eu un an en mars ! Ils vont rester des petits chatons tous mignons toute leur vie, si ce n’est pas génial, ça ?

Ipiccy 165 - Serviette sur un arbre au bord du lac

Bon, je ne vais pas le cacher je pense que je vais faire un petit peu de nettoyage de… de fin d’été ici ! ^^ Quoi, déjà la fin de l’été ? Bon, on a quand même passé le cap de ¾ de vacances…  Surtout que l’année scolaire s’annonce chargée… Mais ne pensons pas à cela (pas maintenant, du moins !) ! Il nous reste encore ¼ de vacances, il faut relativiser, comme dirait Galinette ! (Vous verrez cela dans un prochain article, je n’en dis pas plus pour le moment ! ;)) Les révisions et l’achat des fournitures sont encore loin, les glaces n’ont pas encore fondu, la plage n’a pas disparu, les cigales chantent toujours, les cousins et la famille répondent toujours à l’appel pour venir squatter à la maison, même pour quelques jours… Et ce petit air de vacances et d’été est toujours là, flottant dans l’espace, nous enveloppant, rendant la rentrée toujours plus lointaine…

Quand je regarde mon blog de l’extérieur, je me dis, (oui, il m’arrive souvent de me parler à moi-même ! Pourquoi, c’est un symptôme de schizophrénie ?) : non mais, vous avez vu ce calendrier/décompteur de jours ? Il est toujours sur Noël ! Ces articles qui ne sont pas classés ? Un peu plus d’organisation ne me ferait pas de mal, même si ce n’est pas mon fort ! Et ce design ? Bof, bof, il va falloir approfondir tout cela ! Et ces photos qui défilent ? Elles datent, il faudrait rafraîchir tout ça et mettre un lien avec celles de mon Instagram … Car oui, depuis quelques temps, j’ai un compte Instagram ! Pour ceux qui en souhaitent le lien, le voici le voilà, tout beau avec de nombreuses photos inédites à découvrir avec environ un post tous les jours (réalisées principalement avec mon IPhone mais il est possible que quelques une prises avec mon appareil apparaissent face à la demande ! ;)).

Baella

Well, well, well. C’est assez compliqué tout cela ! (Ne cherchez pas plus loin, tout est toujours compliqué avec moi, notamment dans ma tête). Surtout quand je retombe sur mes nombreux brouillons d’articles auxquels je ne comprends strictement rien… ! Parfois je me demande même si je ne m’auto-faisais pas des codes secrets pour que personne ne comprenne même si cela ne devait servir à rien. x) Il y a même des plans d’organisation ! Si, si, il m’arrive d’en faire des fois, quand je pète un câble parce que je ne trouve plus un truc qui est supposé être quelque part dans ce machin, alors qu’en fait il est dans l’autre bidule ! Vous me suiviez ? ^^

Comme vous avez pu l’apercevoir, de nouvelles catégories sont apparues telles que « Hen’s Life » et « Cats’ Life » dans « Cat’s & Co » ou bien « Les Chroniques d’une Ado » dans « My Chronicles » ! Je vous laisse donc le plaisir de vagabonder par-ci par-là et de découvrir (ou redécouvrir) des articles ! 😉 Malheureusement, certaines catégories sont encore vides mais ne vous inquiétez pas, je ne vais pas tarder à les remplir et à en rajouter d’autres !

Je ne sais pas trop par où commencer, il y a du boulot qui m’attend ! Alors, si vous avez des propositions, des idées d’articles, une certaine catégorie que vous souhaiteriez voir apparaître, n’hésitez pas à poster un petit commentaire ou de m’envoyer un email, je me ferais une joie d’y répondre et de prendre votre remarque en compte ! 😀

Meow ! ❤

Django’s Childhood

~Un monde pleins d’odeurs, pleins de choses à découvrir, des territoires à marquer, des matous et des minettes à rencontrer. Le monde est vaste, la terre nous appartient, à nous les chats. Mais lorsque je l’ai revue là, couverte de poussière, ramenée de je ne sais où par les bipèdes, c’est comme si, dans ma petite tête de chat, un flashback se produisait.

Ipiccy 145 - Django

Je sentais une odeur de lait si familière et une autre odeur que je n’aurais su décrire. Tout était si calme, juste un ronronnement de satisfaction. Je sentais le corps chaud de ma sœur juste contre moi, et massais le ventre de ma mère de mes petits coussinets afin d’en extraire le lait. Je gémis légèrement, et, pour me rassurer, j’eus droit à une léchouille entre les oreilles. Je commençais à peine à ouvrir les yeux mais les refermais aussitôt. La lumière blanche du jour baignait la pièce tout autour de moi. Tout semblait si parfait, irréel. Je fourrai mon museau dans la douce fourrure de ma mère et m’endormis d’un sommeil réparateur, sans rêves, mais d’une insouciance si forte face au destin que l’on m’accordait.

Les jours passent, et pour moi, le monde s’agrandit à chaque instant. Petit à petit, le fil qui me retenait à ma mère, au cocon que j’ai toujours connu, s’étire. À présent, je distingue tout ce qui m’entoure. Né aveugle et sourd, j’ai perçu les bruits de ce qui m’entourait à cinq jours. Le monde était si effrayant pour un simple chaton ! Tant de bruits. Puis, vers dix jours d’existence, j’ai commencé à ouvrir les yeux. Il m’a fallu quatre à cinq jours pour discerner ce qui entourait  mes petits yeux bleus surpris, attendant tant du monde qui me paraissait si grand. À seize jours, j’ai posé une patte devant l’autre, et, au bout d’une journée d’entraînement, je me suis éloigné de manière irréparable de ma mère. J’ai senti mes coussinets se poser sur le sol froid et ai écarquillé les yeux de stupéfaction. Alors, le monde ne se résumait pas à ce que j’avais jusque là, toujours connu.

Le reste n’est qu’un souvenir lointain que l’on s’efforce de se rappeler bien qu’il ait été déduit de simples évocations.

Django - Justine's News

Je me rappelle cependant des jeux que j’exerçais avec ma sœur : nous nous amusions à se surprendre mutuellement au détour d’un mur puis nous lancions dans une bagarre sans fin, tentant de mordre la queue de l’autre et finissant par attraper la notre. Mais quelque chose, une force, nous observait en permanence. Au début, je pensais juste que notre mère était nerveuse vis-à-vis de notre protection. Puis, nous voyant grandir et devenir indépendants, elle a été rassurée. Plus tard, j’appris que ces autres animaux qui cohabitaient avec nous n’étaient autres que des bipèdes.

Les jours passent et de nouveaux bipèdes défilent. Tous portent une odeur différente, très forte… Presque irréelle. Ils me prennent dans leurs pattes, me serrent contre eux… Au début, j’avoue que j’avais assez peur mais je me suis habitué. Puis, du jour au lendemain, il n’y a plus eu de nouveaux bipèdes, excepté ceux qui s’occupaient de nous. Il y avait quelque chose d’étrange dans cette situation. Trois bipèdes, femelles, sont venues nous voir. Elles ont caressé ma mère, pris dans leurs bras, le cycle recommençait. Ma mère le cachait, mais je voyais bien qu’elle était nerveuse quand les bipèdes nous tripotaient.

Django

Je me souviens d’être installé sur un duvet moelleux, aux côtés de ma sœur qui persistait à chercher du lait alors que notre mère ne pouvait plus nous en donner. Nous mangions des « croquettes », à présent. Je me souviens encore de son ronronnement mais il s’efface de jours en jours de ma mémoire. Il y a tout à coup eu de l’agitation Parmis nos bipèdes. Ma sœur et moi étions complètement déboussolés. Notre caisse, couvertures et nourriture avaient été déplacés. Des bipèdes entrèrent. Elles n’étaient que deux. Je les reconnaissais. Elles nous caressaient pendant que notre maman chat partait dans une autre pièce.

Ce fut le début d’une nouvelle aventure dans notre jeune vie!

To be continued…

Galinette’s version

Hi !

Ipiccy 130 - Cocotte et Galinette

Quoi de plus beau dans une vie de poule que d’être mère ? Couver toute la journée en attendant que mes poussins naissent ? Roucouler, m’occuper d’eux, faire leur toilette, n’est-ce pas le destin de chaque poule ? Les voir grandir, jouer ensemble, grimper sur les perchoirs, se chamailler pour un petit bout de lard, les voir découvrir le grand extérieur, leur apprendre à boire, les maintenir au chaud la nuit, les voir monter sur son dos ? Je savais qu’un jour j’allais découvrir la joie d’être mère. Mon rêve s’est réalisé !

Vu que cette Cocotte vous a tout raconté (non mais elle se prend pour qui celle-là ?! Elle se croit tout permis, par les plumes de ma queue !). Enfin, bref, à mon tour de raconter ma version. La VRAIE, la seule , l’unique, l’authentique ! Non pas toutes ces âneries vues sous le mauvais œil d’une autre poule ! Et puis, si on ne me croit pas, j’arrête de pondre ! Bah oui, je me suis remise à pondre. Et alors ? Qu’est ce que ça te fait ? Et puis si on me croit pas, na, je boude.

Bon, tout a commencé il y a cinq ou six mois. Comme tous les matins, je me suis réveillée et ai attendu devant la porte du poulailler, que les bipèdes nous ouvrent. Tout à coup, j’ai entendu un bruit très bizarre, ténu, que je n’avais jamais entendu jusque là. Le bruit étrange s’est répété plusieurs fois puis plus rien. Les bipèdes sont ensuite venus nous ouvrir. Les jours qui ont suivi, j’ai continué à guetter. Puis un matin, alors que le « Bruit », comme je le nommais, se répétait, j’eus comme une révélation ! Ce bruit n’était autre qu’un cri, ou plutôt un chant… Avant que je connaisse Cocotte et que j’aille dans ce poulailler, je l’avais déjà entendu : c’était celui d’un coq ! C’était bien trois mois après la première fois que je l’avais entendu pour la première fois que ce flash-back à traversé mon petit cerveau de quelques centimètres de poule ! Dès ce jour, ma vie a chaviré, mon rêve le plus cher n’a cessé de me traverser l’esprit : même quand je me promenais avec ma compagne dans le jardin, c’est pour dire ! J’hésitais, m’installais pendant quelques heures dans le nid où nous pondions puis renonçait et rejoignais Cocotte pour grattouiller quelques heures pour recommencer… Puis je me suis dit que c’était-là, la chance de ma vie. Dès ce jour, j’ai couvé non-stop. Ma compagne ne comprenait pas mon comportement : elle venait me taquiner pour que je sorte, ne cessait de faire des aller-retours entre le poulailler et l’enclos, se demandait quel légume donné par les bipèdes m’était tombé sur la tête ! Mais rien ne m’était tombé sur la tête, pas même une plume ou bien une brindille de foin !

Ipiccy 131 - Poussin

Les bipèdes (encore et toujours ceux-là !), ont tout de suite remarqué que quelque chose clochait : la nuit, je dormais en bas, je m’alimentais de moins en moins, ma ponte était devenue irrégulière. Comme vous l’a raconté cette stupide Cocotte, les bipèdes m’ont mouillé les fesses (si vous vous posez la question, oui, oui, je confirme, c’est très agréable !), ils ont bloqué l’accès à mon nid, ramassé mes œufs malgré mes coups de becs… Avec le temps, ils devenaient de plus en plus insupportables avec moi… Puis un jour, l’un d’entre eux m’a enlevé tous mes œufs, ma soulevé les fesses et en a placé cinq autres qui n’étaient pas les miens dans mon nid. Je me suis dit que cela ne changerait rien, que je continuerais à pondre, coûte que coûte ! Plus le temps passait, plus je trouvais tout cela louche. Les bipèdes prenaient toujours mes œufs et prenaient soin de replacer les autres correctement. Pourquoi les miens ? De toute façon, les bipèdes font toujours des choses bizarres. Cependant, au fil des jours, je sentais qu’une opération s’effectuait sous mon ventre. Quelque chose se créait. Un corps, une vie… Mes petits allaient bientôt naître ! À partir de ce moment, je ne me suis plus contrôlée, mes réflexes et mon instinct de mère ont pris le dessus, je me suis mise à roucouler, et, à ma grande surprise, mes œufs échangèrent des gloussements inquiets avec moi. J’ai donc tenté tant bien que mal de les rassurer. Durant la nuit, j’ai entendu des craquements ce qui signifiait l’arrivée prochaine de mes poussins ! J’ai échangé de plus belle des gloussements avec eux, afin de les rassurer. Cependant, cette Cocotte a tout fichu en l’air ! Elle n’a pas fermé l’œil de la nuit (tout comme moi, en fait.), et, curieuse, elle a observé la lente éclosion de mes petits. Moi-même, je me suis surprise à roucouler, à caqueter et à l’attaquer dès qu’elle a tenté de « nous » approcher. « Nous » ? Mes petits et moi. Car, maintenant, j’en étais sûre, j’étais mère… Et mère de trois magnifiques petits ! Ils ne cessaient de piailler dans le nid et de gigoter tant bien que mal dans tous les sens ! Un quatrième a vu le jour dans l’après-midi mais je l’ai su immédiatement : il était trop faible pour survivre. Malgré tous mes efforts et mes petits soins il est mort trois jours plus tard. Mais je n’ai pas tellement eu le temps de m’attarder sur son sort : ses frères et sœurs (nous ignorons si ce sont des mâles ou des femelles) ne cessent de piailler et de gigoter ! Ils ne peuvent rester plus de cinq minutes dans le nid ! Si j’avais su que c’était si fatigant…

Ipiccy 129 - Poussin

Au bout de quatre voire cinq jours, (à vrai dire j’avais perdu la notion du temps), le plus curieux et courageux du trio a enfin osé sortir un bec, puis une tête, puis une patte par la porte du loft. Je sais ce que cela signifie : mes poussins ont passé un stade. Ils sont aptes à sortir dehors, à grattouiller la terre… J’allais enfin pouvoir me reposer sur un perchoir tout en les surveillant ! J’observais donc mon petit trio curieux découvrir le monde avec un peu d’amertume dans le bec mais avec amusement, car je me remémorerais ma première sortie avec Cocotte. Quel désastre ! J’étais sortie de l’enclos et cherchait à retrouver ma compagne alors que celle-ci était tranquillement installée à l’intérieur. Les bipèdes m’ont poursuivie, tenté en vain de m’attraper, tout en poussant des cris. Ils sont même venus avec un drap pour essayer de m’attraper. J’étais tellement apeurée, je courais dans tous les sens ! C’est alors que la petite bipède eut une idée : elle prit Cocotte de son nid, à moitié endormie et la mit devant la porte de l’enclos. J’accourus aussitôt vers elle et entrai dans l’enclos. Les bipèdes m’ont aussitôt attrapée et m’ont brusquement jetée ainsi que ma compagne dans nos nid, tout en refermant la porte. Depuis ce jour, je gardais non pas une dent, mais un coup de bec envers mes bipèdes. Et tout à coup, je suis revenue à la réalité : et si les bipèdes tentaient d’attraper mes petits comme ils l’ont jadis fait avec moi ? Et s’ ils leur faisaient du mal ? J’ai sursauté et poussé un cri de panique. Mes poussins, affolés, sont aussitôt venus se cacher sous mon ventre. Les voir gigoter sous mon ventre m’a rassurée, même si je ne faisais que repousser le jour de leur sortie. J’espérais de tout mon cœur que la porte se referme comme il y an un an de cela, nous laissant pratiquement dans l’obscurité et la chaleur rassurante de la paille. Que l’obscurité coupe le pont qui nous permettait de sortir dehors, que je reste à jamais avec mes poussins.

A suivre…

To be continued …

J’espère que cet article vous a plu ! N’hésitez pas à suivre le blog pour être informé des prochaines publications à la minutes où elles sont postées ! 😉

Welcome, chicks !

Souvenez-vous, dans mon dernier article, je souhaitais la bienvenue à Iris et Django ; à présent, c’est au tour de 3 poussins ! Comme la dernière fois, je laisse la parole à la personne la plus choquée dans toute l’histoire : Cocotte !Galinette & chicks !Mais c’est quoi ce délire ? Elle a un œuf coincé ou quoi ? Voilà les premières questions que je me suis posées lorsque Galinette s’est mise à couver : c’était complètement absurde ! Il n’y a aucun coq dans le quartier, ou du moins un qui aurait pu venir nous faire un petit coucou ! J’ai essayé de lui parler, à notre manière à nous, les poules, de la faire changer d’avis… Mais elle est si têtue… C’est du moins ce que je me disais au début, mais en réalité, je le sentais : Galinette était devenue distante et manigançait (du moins je le suppose) un projet qui allait créer un grand fossé dans notre petit quotidien tranquille. Elle allait entrer dans une phase que je ne connaîtrais peut-être jamais, ou que je ne voudrais pas connaître.

Chaque matin, c’était le même manège ! Lorsque les bipèdes venaient ouvrir la porte de notre petit loft, Galinette ne voulait pas sortir. Entêtée, elle restait figée dans son nid. Le plus embêtant, c’était que ce nid est celui ou nous pondons. Il m’était donc devenu impossible d’accès. C’est sûr que presqu’ un an à avoir cette habitude de pondre là bas, changer de nid m’a bien déréglée. Mais, hélas, ce n’était que le commencement. Il y avait aussi autre chose dans le regard de Galinette. Quelque chose que je n’arrivais pas à comprendre. Elle paraissait soucieuse, le regard figé dans la vague… On aurait dit qu’elle somnolait ainsi ! Au début, elle sortait régulièrement du poulailler pour s’abreuver et manger quelques graines, laissant ses œufs chéris sans défense. Mais, au fil du temps, ses escapades sont devenues de plus en plus rares. De plus, elle devenait agressive, dès que je m’approchais d’elle lorsqu’elle était dans son nid pour pondre, elle caquetait, gonflait ses plumes et me pinçait. Cela m’a brisé  le cœur. C’était incompréhensible. Où était passée ma compagne si gentille et prête à m’accompagner partout ?

Les bipèdes, eux, ont utilisé la force contre Galinette. Ils la firent sortir de son nid, bloquant quelques fois l’accès, au grand mécontentement de Galinette. Eux aussi, visiblement, ne comprenaient pas pourquoi elle se laissait ainsi mourir à petit feu. Ils la croyaient malade ! Ils la mouillèrent, craignant un coup de chaleur qui aurait pu lui être fatal, changèrent notre alimentation, etc… Mais rien ne marcha. Galinette revenait inlassablement dans son nid et couvait ses œufs, vides, que les bipèdes les aient enlevés ou non. Parfois, les bipèdes nous laissent promener dans le jardin. D’habitude, dès qu’elle voit la porte de l’enclos ouverte, Galinette se rue dehors, à la recherche d’asticots ! Quelques fois, même s’ ils ne veulent ni la braquer ni la brusquer, les bipèdes la prennent dans leur bras, bloquent l’entrée du poulailler, etc, et la forçaient à sortir. Je vis ainsi quelques heures de liberté avec elle mais le soir, elle retourne aussitôt couver ses œufs, m’ignorant complètement. Puis l’attitude des bipèdes changea. Mon destin bascula, celui de Galinette y compris. Les bipèdes ont enlevé tous ses œufs à Galinette et se se sont mit la dorloter du jour au lendemain ! Mais le pire était à venir : un matin, un bipède qui m’était inconnu a apporté 5 œufs et les a placés sous Galinette. J’ai tout de suite remarqué que c’était louche. Les œufs portaient une odeur qui n’était ni la mienne, ni celle de ma compagne, et pourtant, elle a continué à les couver pendant une interminable vingtaine de jours. C’est le dernier dimanche soir que tout a chaviré. Galinette s’est mise à parler à ses œufs. Seulement, les œufs vides ne parlent pas. Et pourtant, les poules parlent à leurs oeufs fécondés et ils leur répondent ! Parler à son enfant pas encore né est chose commune à quasiment toutes les espèces. La mère poule parle donc à son poussin à naître. Ce qui est incroyable c’est que les poussins pas encore nés répondent à leur mère. A peu près un jour avant l’éclosion, les futurs poussins font des bruits. On peut les entendre en se penchant au-dessus de l’oeuf. La mère poule fait aussi des gloussements, de manière plutôt douce mais effrayante, pour répondre à son futur poussin sûrement inquiet. Ceci est supposé être un geste d’assurance.

Chicks Là, tout mon petit monde s’est écroulé. Non, « notre » petit monde, avec Galinette. Comment ai-je pu ne pas me douter de ce petit manège ? Comment ai-je pu être aussi stupide ? Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit, à cause des roucoulements de Galinette. Le lendemain, au petit matin, 3 petits poussins ont vu le jour pour la première fois. Un quatrième est né dans l’après-midi, mais, étant bien trop faible pour survivre, et, à la grande tristesse de Galinette, il est mort quelques jours plus tard. Les trois autres piaillent, piaillent, piaillent à longueur de journée, ce qui n’a pas l’air de gêner Galinette, au contraire, elle roucoule de plus belle ! Je n’ai pas comprit son attachement à ces trois moineaux jaunes. Ce n’était pas les siens. Ce n’était pas possible. Les bipèdes étaient toujours aux petits soins avec Galinette, et encore plus depuis la naissance de sa progéniture, de ma compagne qui n’était plus la même. Je ne pouvais pas l’approcher, nous ne pouvions faire notre toilette ensemble… Approcher ses petits était tout simplement impensable ; je me recevais aussitôt un coup de bec ! Les bipèdes, qui craignaient visiblement que je m’attaque aux petits de ma compagne ont décidé que, jusqu’à ce que je reconnaisse les poussins comme des congénères, je n’aurais plus accès à l’enclos. Cela m’arrangeait bien : je pouvais passer toute la journée dans le jardin à gratouiller les feuilles mortes ! Mais le soir, je ne pouvais pas non plus dormir à l’intérieur du poulailler ! Les bipèdes m’ont aménagé une petite cagette bien au chaud dans un coin isolé du poulailler. Cependant, je ne comprenais pas pourquoi je ne pouvais pas dormir à ma place habituelle, à côté de ma compagne et ai décidé de grimper sur la grille du poulailler ! Le matin, les bipèdes me trouvaient donc ici endormie. Ils ont choisi de m’installer la cagette sur la grille mais cela n’a pas changé grand chose ; soit je la renversais  et éparpillais la paille et le foin  partout, soit je dormais à côté. Au bout de plusieurs nuits, les bipèdes ont arrêté de ramasser le foin. Plusieurs fois, le matin, en venant nous ouvrir, les bipèdes, à leur grande surprise, m’ont retrouvée à l’intérieur du poulailler, dans mon nid habituel. J’arrivais quelques fois à soulever la grille et à rentrer à l’intérieur, au grand mécontentement de mes bipèdes ; ces derniers me remettaient aussitôt dehors.

 Cocotte et un poussinQuelques semaines plus tard : et voilà, les poussins ont eu un mois il y a peu de temps ! Les bipèdes me laissent enfin rentrer dans l’enclos et dormir à l’intérieur. Que c’est bon de retrouver ses bonnes vieilles habitudes ! Le seul hic, comme d’habitude, bien-sûr, c’est Galinette… Toujours pas moyen de s’approcher de ses petits sinon elle caquète et me donne des coups de becs ! Par contre, les poussins, eux, contrairement à leur mère, sont adorables. Ils me grimpent quelques fois sur le dos, mangent des vers et des asticots avec moi, viennent dormir sur moi ou sous mes ailes la nuit… Sauf que ma compagne fait tout pour les en empêcher : dès qu’ils s’éloignent un peu d’elle pour venir avec moi, elle fait de monstrueuses crises de jalousie ! Celle-là alors ! Les poussins sont obligés de revenir vers leur mère. Heureusement, les bipèdes ont recommencé à nous laisser promener dans le jardin : je pense que cela a fait un peu baisser la tension qui régnait dans le poulailler. Bien-sûr, les trois petits nous accompagnent partout ! Leur première sortie, comme c’était drôle (humour de poule) ! Ils se perdaient sans cesse, grattaient aux mauvais endroits, s’étouffait légèrement avec une brindille d’herbe, se volaient leur nourriture entre eux… Ils venaient même me piquer les asticots que je découvrais ! Mais, amusée, je les laissais faire. La seule poule mécontente, c’était Galinette : hop, coup de bec dès que les petits venaient manger dans mon trou ! De plus, j’ai remarqué que l’état de ma compagne se détériorait de jours en jours. Elle ne faisait plus sa toilette, s’arrachait les plumes de la queue. Elle, qui était si jolie ! De plus, elle ne s’est toujours pas remise à pondre. Si c’est cela être mère poule… Déjà, je ne pense pas que je me mettrai à attendre stupidement un coq toute la journée alors que celui-ci, même si je le savais, ne viendrait jamais. Je ne me mettrai pas non plus à couver : quelle perte de temps alors que pleins de découvertes m’attendent dans le jardin ! Et puis, pourquoi être si anxieuse et jalouse pour ses poussins ? Pfff, cet univers n’est sans doute pas fait pour moi !

Bref, mon existence de petite poule tranquille a bien changé depuis l’arrivée des poussins ! J’ai peur de la suite à venir ! A très vite ! 😉

Welcome, Iris & Django !

Hi World !

Iris Django Pepsi

How are you ? Moi, très bien ! Bientôt en grandes vacances ? Ou l’êtes-vous déjà ? Aller, plus que quelques jours ! Aujourd’hui, je ne vais malheureusement pas vous parler des vacances à venir, car cet article sera assez spécial, car, oui, vous l’avez sans doute lu dans le titre, il est temps de souhaiter (bien que ce soit un peu plus d’un mois et demi après) la bienvenue à Iris et Django ! Je pense laisser la parole à Pepsi, bien qu’étant toujours en état de choc, j’espère qu’il pourra vous expliquer le tout (à sa manière)…

Miaou ? Je suis en direct là ? Ok. Chers lecteurs, je suis un chat perdu, en pleine dépression… Ah, comment une chose pareille peut-elle être possible ? Pfff… J’ai été sage, pourtant ! Mais bon, ce n’est pas la première fois qu’on me fait le coup ! Bref, je vous explique…

Nous étions samedi 26 Avril, (date qui restera malheureusement gravée dans ma mémoire de chat), il était 15h… Je dormais tranquillement dans l’armoire de mes bipèdes, (sur les chemises, noires, par préférence, afin que mes poils soient ENCORE plus visibles, et après les avoir faites tomber du cintre, c’est tellement plus confortable !). Puis j’ai eu une petite faim. Après une longue, très longue  réflexion, je me décide enfin à sortir de ma planque est à aller grignoter deux ou trois croquettes. Eh oui, l’appel de la faim est plus fort que la fainéantise ! C’est à ce moment-là que j’ai entendu un tout petit miaulement ! Je me pétrifie. Mes poils se hérissent sur mon échine. Puis je me rassure : ce n’est que la petite bipède qui s’amuse à me faire peur avec une application de miaulements de chats. Pfffff ! Plus que périmée, cette blague. Bref, je dévale les escaliers à toute vitesse, puis je remarque qu’une odeur bizarre flotte dans l’air !  Et là, devinez dans quoi je me prends les pattes ?!

 Django

Une sorte de mini boule de poils grise ! Décontenancé, je fixe la boule pendant quelques instants. Puis là, une autre mini-boulette de poils débarque ! Elle est toute noire, c’est sûrement la sœur de l’autre « mini-crotte » ! Surpris, je les contemple encore. Que faire ? Feuler ? Monter qui est le boss ? Ou partir en courant ? C’est en voyant mon hésitation que la mini-crotte grise s’approche pour me renifler ! Mécontent de ce « manque de respect », je lui donne un coup de patte. Contrarié, le chaton bondit de quelques pas en arrière. Les bipèdes sont là, en train de nous regarder, et je n’aime pas ça. Furieux, je décide de me réfugier dehors aussitôt. Mais que font ces chatons sur MON territoire ? Apparemment, ils ne m’ont pas suivi. Ô, Grand Dieu des croquettes tout puissant, qu’ai-je fait pour mériter cela ?! Bon, ils ont l’air inoffensifs, et veulent sans doute faire simplement ami-ami… Espérons que ce soit provisoire ! Mais après un mois et demi, je perds espoir que la venue des chatons soit  toujours provisoire… Bon, je repasse les commandes à ma bipède, je vais faire une petite sieste…

 Iris

Il n’a pas l’air très content. Bah, il en a vu des chats dans sa vie; il s’en remettra ! En tout cas, il manifeste son mécontentement de multiples manières… Mais maintenant que les chatons ont pris leurs repères, ils sortent dehors. Fini le repos au soleil pour Pep’s ! À présent, il miaule sans arrêt devant la porte de la cave, seul endroit où il pourrait (du moins pour le moment) encore se réfugier !

Et vous ? Comment pensez-vous que votre matou aurait réagi à la vue des chatons ? Au moins, Pepsi n’a pas réagit comme ce chat !

A très vite pour un nouvel article ! 😉

Enjoy A Simple Life With Your Animals !

Hi !

Enjoy The Simple Life With Your Animals !

Comment-allez vous ? Moi je vais super bien… Surtout depuis que je sais que les animaux peuvent nous aider à vivre plus longtemps … Si, si, je vous l’assure ! Vous ne me croyez pas ? Encore plus fou: nous pourrions aider les animaux à vivre plus longtemps ! Si vous ne me croyez pas, et si vous pensez que les miracles n’existent pas… Laissez moi vous montrer deux expériences : Les chiens ont un impact bien connu sur nos vies mais souvent plus que l’on pourrait l’imaginer. Saviez-vous que vous pouvez vivre plus longtemps grâce à votre chien ?  En effet, le fait de caresser un chien relâche de l’ocytocine dans le corps de votre chien et dans le votre. L’ocytocine est une hormone qui aide à réduire le stress, la pression sanguine, les risques d’attaque cardiaque… Il a été prouvé que le fait de caresser un chien nous ferait vivre plus longtemps en nous aidant de l’intérieur. Comme beaucoup, on peut avoir du mal à croire cette étude lorsque toutou aboie sans cesse et nous attire les foudres des voisins ou quand on se lève le matin pour aller travailler et que le couloir est plein de pipi, caca… On aurait tendance à penser que notre chien augmente notre stress… mais non en réalité NOUS augmentons notre propre stress en n’apportant pas à notre chien tout ce dont il a besoin (éducation, équilibre…).Alors réglons nos petits problèmes du quotidien et vivons plus longtemps ! 

Enjoy A Simple Life With Your Animals

Les animaux pourraient-ils donc nous être indispensables ? 

La ronronthérapie, vous connaissez ? Non ? Cette thérapie fait partie de la Zoothérapie. Un mot qui prête à sourire mais dont on entend parler de plus en plus. Plusieurs enquêtes l’on démontré récemment, le ronronnement des chats aurait des vertus apaisantes. C’ est même une nouvelle façon de guérir du stress, des troubles cardiovasculaires et de l’hypertension ! En effet les ondes émises par le ronronnement du chat sont étagées sur de basses fréquences (25 à 50 hertz) et auraient des effets thérapeutiques non négligeables comme se relaxer et libérer son stress en caressant notre félin : notre fréquence cardiaque ralentit et la tension artérielle diminue.  L’hypothèse de la fabrication hormonale (la sérotonine) dans le cerveau est l’hypothèse privilégiée. Lorsqu’il ronronne, notre respiration devient plus profonde et posée, cela provoque une relaxation en activant la circulation du sang dans le corps.Encore plus fou, ces études ont également démontré que les ondes à basses fréquences émises par un matou faciliteraient la consolidation des os lors d’une fracture et ainsi amélioreraient la cicatrisation et soulageraient l’arthrose.Si vous n’avez pas de chat à la maison, sachez que des CD de ronrons relaxants existent, et, même s’ils ne sont pas aussi efficace qu’un chat en chair et en os, les personnes l’ayant testé ont constaté un effet réellement relaxant, et davantage de facilités à s’endormir. Certains hôpitaux testent l’effet apaisant des chats, notamment sur les personnes âgées et, au Japon, les bars à chats permettent à quiconque de garder l’animal auprès de soi pour se reposer.
Ipiccy 30 - Pepsi

Les études nous l’ont donc prouvé à maintes reprises… Les animaux peuvent nous être indispensables… Qu’en pensez-vous ? Convaincu(e) ? Moi, oui ! Ou bien ressentiez vous déjà les bienfaits du ronronnement de votre minou ? Et de votre toutou ? Dites moi tout par commentaires ! 

Sur ce, je vous laisse, j’ai une séance de ronronthérapie à faire avec Pepsi !

Sources : Animal Cognition, Solutions Canines.

Snow everywhere …

Hi !

Ski

Le printemps… J’ai tellement hâte qu’il soit VRAIMENT là… Mais d’abord, il y a encore l’hiver ! Et puis, j’avais décidé de vous concocter un petit article résumé des vacances de ski de février (qui sont en mars, d’ailleurs lol)… Juste repenser à l’excitation à la vue de la neige ! Pffffffiou ! Que de bons souvenirs… Cette étendue blanche à perte de vue… AMAZING ! Eh oui, quand on vient du Sud, on n’a pas toujours l’occasion de voir de la neige… Excepté une fois tous les 5 ans… Heureusement, les vacances de ski sont là… Ah lalala ! Et puis, après toutes ces interminables heures de routes, la neige est notre récompense…

La neige. Cette étendue blanche à perte de vue… Enfin. Tant attendue… Nous sommes mardi. Mardi, 11h 45. Mon surf glisse doucement dans la neige… Oui, j’ai arrêté le ski. Je me suis lancée dans le surf, et c’est ma deuxième année. J’espère obtenir mon diplôme XXX ! Je tente un virage… Aïe aïe aïe, c’est la chute… Mon coccyx me lance douloureusement… Fichu verglas ! Heureusement, il y avait un peu de poudreuse pour ralentir ma chute. Vive la neige ! Je reste quelques magnifiques instants de calme dans cette position, sur les fesses, au beau milieu de la piste pour admirer le paysage malgré le blizzard… Devant moi s’étendent de magnifiques montagnes au nombre infini et enneigées… Quel spectacle magnifique ! J’entends au loin la voix résonnante d’un micro dans lequel un commentateur surexcité commente une descente de skieurs… Ah la montagne et ses joies ! Et tout à coup, je me prends une vague de neige en plein visage, heureusement que j’avais gardé mes lunettes de ski…
<< – Papa ! m’exclamai-je.
– Bah alors, on se repose ? Je n’ai pas le temps de répondre que je me prends une boule de neige dans le dos…Ski
– Damien… dis je… Damien, 11 ans, est mon cousin du côté de mon père.
– Tu vois, je l’aurai ma vengeance ! me répondit-il, fièrement.
– Attention ! s’exclama aussitôt mon père. J’ai à peine le temps de faire un mouvement de recul, ou plutôt un roulé boulé sur moi-même, (oui,oui, avec mon surf) sur le côté pour éviter le surf de mon autre cousin, Alexandre, 8 ans.
– Tu pourrais faire plus attention… m’énervai-je ! J’ai faillit perdre quelques côtes…
– Oh, c’est bon hein, c’est pas facile, ronchonna Alexandre en tombant sur les fesses.
– Bon, on y va ?
– Vamos les riders, m’exclamai-je en me relevant, gardant ma bonne humeur intacte. Oui, la neige me rend heureuse. Tant que l’on ne m’en détourne pas pendant cet heureuse semaine de ski, tout va bien.
– Et n’oubliez pas de prendre la piste de gauche pour aller au chalet ! hurla mon père.
– Oui, oui, t’inquiète… >> J’enchaîne quelques virages en prenant soin de tourner dans la poudreuse, déjà que le blizzard nous empêchait de voir correctement. Je tourne à gauche, suivie par Damien. Je me retourne doucement pour vérifier si Alexandre nous a bien suivis…

<< – Oh non… Alexandre ! dis-je en freinant dangereusement.
– De quoi ?! demanda Damien, déconcentré, en tentant de freiner et en partant en hors piste. Je lui fis un signe de la tête pour lui montrer la piste qu’avait prise Alexandre. Il avait prit celle de droite.
– Alexandre, hurlai-je, il fallait prendre celle de GAUCHE ! Et c’est à ce moment là qu’il s’est mit à nous faire l’araignée alsacienne… Oui, oui, l’araignée alsacienne ! C’est ainsi que nous avons surnommé sa technique de… hum…hum… comment dire ? Sa technique pour remonter la piste sans déchausser son surf.

Ipiccy 21 - Ski

Je le plaignais en silence. C’était sa première année de surf et il avait à peine son flocon ou son piou-piou, ou je ne sais quelle autre titre qui revient aux skieurs. De toute façon, ces titres sont bien loin derrière moi, bien que j’aie dû repasser plusieurs fois ma deuxième et troisième étoile… En snowboard, c’est beaucouuuuuuuuup plus simple. Quand tu es débutant, tu es… carré. J’avoue, c’est pas très classe.  Au moins, après, normalement (enfin je crois) tu es X, puis XX et encore après XXX et après je ne sais plus… Un peu plus classe, quoi. Moi je m’arrêterai au XXX. Après,c’est fini pour moi, je ne prendrai plus de cours ! Ni en snow, ni en ski ! Quelques minutes plus tard nous étions installés bien au chaud avec une tasse de chocolat chaud préparée par Mama. Nous avions réussi à arriver à destination : le chalet !

Depuis plusieurs années (je ne saurais dire combien exactement) nous allons dans le même chalet… Que ce soit avec toute la famille (une bonne dizaine de personnes) ou à 4 ! Nous avons donc nos petites habitudes, ce qui est bien confortable ! Bref, c’est le top…

 Et vous ? Allez-vous au ski avec toute votre famille ou seulement une partie ? Faites vous du surf ou du ski ? Ou alors tentez-vous le surf ? 🙂 Dites moi tout par commentaires, je serais heureuse de vous répondre !

-Photos réalisées avec le CANON EOS 550D-

Pets Are Not Furniture !

Hi !

C’est honteux. C’est une honte pour la France. Considérer les animaux comme des meubles ! Quelle chose ridicule…

Pepsi - Justine's News

Malgrès la pétition lancée par 30 millions d’amis, celle sur Avaaz ou de nombreuses autres,  Mr François Hollande, Président de la République Française à refusé le vendredi 21 février, de changer… la loi considérant les animaux comme des meubles !  Indignée, j’ai donc décider d’enquêter sur ce sujet…

Article 528 du Code Civil du 6 janvier 1999 ; 

 »Sont meubles par leur nature les animaux et les corps qui peuvent se transporter d’un lieu à un autre, soit qu’ils se meuvent par eux-mêmes, soit qu’ils ne puissent changer de place que par l’effet d’une force étrangère. »

Les animaux sont des êtres vivants à part entière qui peuvent éprouver des sentiments, comprendre ce que nous ressentons nous autres les bipèdes ! Les êtres vivants regroupent tous les organismes qui peuplent notre planète (les animaux, les champignons, les bactéries, les plantes…), et qui sont dotés de vie. Les animaux ne sont-ils pas dotés de vie ? Pour certains, un animal fait même partie de la famille ! Ils peuvent même sauver des vies, aider les malvoyants (principalement les chiens)… Mais jusqu’à les considérer comme des meubles, des biens… Changer leur statut aurait sûrement permis une prise de conscience de la maltraitance animale faite aux animaux en France (ainsi que dans le monde entier !) Nous sommes dans un pays libre de droits, non ? Un animal vit, pense, souffre, aime…

Ipiccy 15 - Fleur

Comme le prouvent différentes études :

Vous vous demandez parfois si votre chien vous aime ? S’il n’est pas reconnaissant uniquement parce que vous lui donnez à manger ? Une étude a ainsi démontré que les animaux éprouvaient eux aussi des sentiments. Plusieurs chiens ont en effet pu participer à une expérience, sans être anesthésiés, ce qui a permis de passer une IRM aux animaux et ainsi de voir ce qu’ils pensaient réellement. Des croquettes ont donc été données aux toutous par des mains d’inconnus, d’un robot et par celles de leur maître. Il s’est avéré que les animaux réagissaient de manière différente en fonction de la personne qui leur donnait à manger ce qui prouve qu’ils ne sont pas seulement sensibles à la nourriture mais bien à la personne qui leur donne. Ces chercheurs de l’université d’Atlanta remettent donc en cause les anciennes croyances qui voulaient que ces animaux étaient uniquement attirés par la nourriture et ce, peu importe la personne qui leur donnait.Ce sont des donc des êtres aimants, capables d’éprouver des sentiments, tout comme les êtres humains. 

Ipiccy 12 - Fleur

Les animaux peuvent donc ressentir des émotions… Mais ils peuvent aussi reconnaître la voix de leur maître!

Explications :

Selon une étude menée par le département des sciences comportementales de l’Université de Tokyo, publiée dans la revue spécialisée Animal Cognition, repérée et relayée par d’autres titres presse, le chat reconnaîtrait la voix de son maître. Des chercheurs chevronnés se sont mis en tête d’analyser les réactions de vingt chats domestiques face à l’appel de leur maître, puis à celui de trois inconnus. Les résultats ont été sans appel : seule la voix de leur maître a attiré l’attention de ces chats-cobayes. Sans pour autant se diriger vers lui. Étonnant, non ? Pas vraiment. A la différence du chien qui a été domestiqué depuis fort longtemps, les chats n’ont jamais appris à obéir à l’appel ou aux ordres de qui que ce soit. Il y a 9000 années, lors du développement de l’agriculture, ils chassaient les rongeurs attirés par les stocks de grains. Ils s’en nourrissaient et vivaient ainsi en parfaite autonomie, oubliant même la présence des fermiers vivant à proximité. L’explication viendrait donc à priori de ce passé commun entre l’Homme et les chats. Des études sont régulièrement menées pour approfondir le sujet. Il ne reste plus qu’à s’armer d’un peu de patience pour comprendre enfin le comportement de nos compagnons à poils.

Ipiccy 14 - Fleur

“Les animaux ont aussi des sentiments” disent les scientifiques ! 

Les études menées par le chercheur John Webster et ses collègues de l’Université de Bristol au Royaume Uni, qui travaillent sur le bien-être des animaux ont révélé que les vaches et d’autres animaux de ferme ressentent des émotions comme la peur, la douleur et la joie, et peuvent même répondre à des défis intellectuels.

Les expériences réalisées avec des porcs, des moutons, des poulets et des bovins ont montré que tous avaient manifesté ces traits de comportement, suggérant une telle similitude émotionnelle que les lois relatives à la protection animale devraient être révisées. Pour appuyer cette position, le professeur Webster affirme que « les animaux sensibles ont la faculté de ressentir le plaisir et sont poussés à le rechercher. Il suffit seulement de regarder comment les vaches et les agneaux cherchent et jouissent du plaisir lorsqu’ils s’étendent la tête tournée vers le soleil sous un jour d’été, juste comme les humains. » 

Les études menées à Bristol et à Cambridge montrent que les animaux de ferme ne sont pas simplement des êtres passifs, des créatures sans sentiment, qui errent dans les basses-cours et dans les champs à brouter l’herbe ou donner à manger toute la journée, mais des êtres complexes avec des traits émotionnels semblables à ceux des humains. Alors, puisque nous, les humains, reconnaissons que nous devrions, par compassion, éviter d’infliger la douleur et la souffrance à nos frères humains, il est simplement logique que nous évitions aussi de nuire aux autres êtres sensibles qui connaissent les mêmes émotions que les humains.

Ipiccy 13 - Fleur

Cela ne suffit donc pas ? Faut-il d’autres preuves ?

Différentes sources : Legifrance,Wikipédia, Levif, AnimalCognition, et (extraits) de Contactdirectavecdieu. 

Il faut changer la loi. Et de toute urgence ! Et vous, qu’en pensez-vous ? Est-il primordial de changer cette loi ? Dites-moi tout ! 

-Photos réalisées avec le SONY DSC HX50V-

Choose…

Hi !

Aujourd’hui, je vais vous parler… des choix.

Coucher de soleil Justine's News on WordPress - Justine Photography

Ah, les choix ! Dit ainsi, cela ne doit sans doute ne rien vous évoquer… Mais pour ceux qui se seraient déjà informés sur le sujet :

« Définition du mot : choix
Nom masculin invariant en nombre
– fait de choisir, sélection
– liberté de choisir
– ensemble offrant la possibilité de choisir
– par extension ensemble de choses choisies
– par extension le meilleur en qualité »
Ippicy 7 - Fleur
Mais avez-vous déjà pensé aux AUTRES choix que vous faites en dehors dans la « vie de tous les jours » ? Pas les choix tels que ; Oh mais dites donc, je prends des tartines avec du beurre ou des céréales ce matin ? NON ! Les CHOIX. Les VRAIS choix. Les choix qui auront un impact sur nous, sur notre façon de penser, d’écrire, de discuter… Et sur notre avenir. Hum… Vais-je prendre l’orientation euro-anglais au collège l’année prochaine ? Et quelle langue vais-je choisir entre l’espagnol et l’allemand ? C’est ce côté là des choix que l’on apprécie peu… Le fait de savoir que l’on est obligé de choisir entre la réponse 1 et la réponse 2… Et le fait de savoir, qu’après, on ne pourra plus reculer… C’est à ces moments là que l’on se dit : STOP ! Ça ne va pas, là ! Il faut que je prenne mon temps. Que je reprenne mon souffle, réfléchisse sur les conséquences de mes choix… Et puis, ce  sont pas les choix qui font ce que nous sommes, non ? Tant de questions qui se bousculent dans notre tête… Notre cerveau est à la limite de l’ébullition. Puis on entre dans cette atmosphère stressante… La peur arrive… Cette peur, qui nous terrorise, nous pétrifie. On essaye de la chasser de notre esprit, en vain. Elle au moins, elle n’abandonne jamais, elle revient toujours à la charge… Et on sait bien, au plus profond de nous, qu’un jour, que l’on le veuille ou non, on devra lui faire face. Ces sentiments dans lesquels on se perd… STOP. On sauvegarde, on repousse. Mais non ! On doit le faire TOUT DE SUITE ! C’est maintenant… Ou jamais… Mieux vaut tard que jamais ? On se perd, on se déchire, on s’arrache à ce qui fait ce que  nous sommes… Brrrrrr ! Cela me donne des frissons, pas vous ?Justine Photography

Après tout, on a TOUJOURS le choix, non ? Puis cette arrière-pensée, qui vient toujours se mêler… Qui s’accroche et qui reste là… Qu’est ce que les autres penseront de nous ?
«Trop penser à ce que les autres pensent de nous risque de changer ce que nous pensons de nous-mêmes» Et puis, non. Je veux être telle que je suis et non pas telle que les autres veulent que je sois. Je dois garder la tête haute en toute circonstance.   Ne regrettons pas nos choix  ! Regardons loin, loin devant nous. Restons fidèles à nous mêmes, pour faire les choix qui nous correspondent.

Retrouvez aussi l’article de nouvel an où je vous parlais déjà des choix #ici#  Meow ! ♥

Et vous ? Des choix importants on t-ils changé votre quotidien ? 

-Photos réalisées avec le SONY DSC HX50V-

Time To Go To School…

Hi everyone ! 😉

FlowerNon, je ne vous oublie pas ! Il y a juste eu la rentrée des classes et des contrôles (dont on se serait bien passé), entre temps…

Eh oui, sacrée rentrée… Tu arrives toujours bien trop tôt… On se pose, c’est les vacances, le premier jour, on entame tout doucement les devoirs entre deux grasses matinées… On « geek », on prend des photos… (Pour mon cas, je ne sais pas vous ? :P)… On entre dans ce rêve doux que sont les vacances…Et puis les jours s’écoulent rapidement, trop rapidement ! On essaye de s’accrocher, de les attraper… Et hélas ! Ils sont déjà bien loin derrière nous… On regrette, tout en espérant que ce rêve ne se termine jamais… On continue mélancoliquement nos devoirs…

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Ah, sacrés profs ! Pourquoi ? Pourriez-vous m’expliquer POURQUOI vous donnez tant de travail pendant les vacances ? Enfin, pensez un peu à nous ! Entre l’interminable devoir de maths, le questionnaire de Français à rallonge, les exercices d’anglais, le contrôle d’histoire et le projet d’art, on ne sait plus où donner de la tête ! Bref, on entame (et malheureusement) la deuxième semaine… Et là, celle-ci, c’est la plus difficile… On termine les devoirs sans trop profiter et en regrettant la première semaine… Ah, vivement les vacances d’été… Même si elles aussi, passent trop vite…

Et puis c’est le dernier week-end avant la rentrée… Déjà… Non ! On voudrait arrêter le temps, recommencer les vacances… Et voilà que le lundi arrive… Et voilà. Bug. Bug. Bug. Justine ne répond plus. Que souhaitez vous faire ? Continuer ? Rebooter ? Dans le doute, reboote ! Seulement, voilà, ce n’est pas en tournant le dos aux choses qu’on leur fait face… Ah, si seulement on pouvait remonter le temps…

Et vous ? Comment s’est passée votre rentrée ? 

Pepsi

Meow ! ♥

PS : A présent, ma page A propos est disponible ! Cliquez #ici# pour la voir !

-Photos réalisées avec le SONY DSC HX50V-